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Politiques de l'alternance. Sociologie des changements (de) politiques
Politiques de l'alternance. Sociologie des changements (de) politiques
L’alternance au pouvoir est devenue un phénomène politique courant, au point que son traitement médiatique comme académique s’est lui-même banalisé au gré des épisodes électoraux. Par contraste avec les analyses centrées sur l’explication du verdict électoral, ce livre collectif tente de réveiller la curiosité des observateurs et des chercheurs en interrogeant la pluralité des contextes politiques et des situations de concurrence, les reliquats d’incertitude et les calculs prospectifs qui traversent les sociétés quand le pouvoir est sur le point de changer de main. Lire un compte-rendu dans la Revue française de Science politique
Les contributions réunies dans cet ouvrage replacent l’alternance dans une temporalité longue pour interroger les divers anticipations et investissements qui accompagnent les processus de changement de pouvoir, en amont comme en aval. En privilégiant une démarche empirique sur l’alternance, elles traitent de cas nationaux et locaux, démocratiques ou non, et revisitent notamment le paradigmatique “Mai-81” français. Ensemble, elles permettent de comprendre comment la notion d’alternance est devenue une catégorie usuelle de l’entendement du changement politique.
Les coordinateurs :
Philippe Aldrin, Lucie Bargel, Nicolas Bué, Christine Pina
Contributeurs-trices
Valentin Behr, doctorant en science politique, SAGE, université de Strasbourg.
Michel Camau, professeur émérite de science politique, CHERPA, Sciences Po Aix.
Éric Cheynis, maître de conférences en sociologie, SAGE, université de Haute-Alsace.
Marine De Lassalle, professeur de sociologie politique, SAGE, Sciences Po Strasbourg.
Audrey Freyermuth, maîtresse de conférences en science politique, CHERPA, Sciences Po Aix.
Renaud Gay, doctorant en science politique, PACTE, Sciences Po Grenoble.
Marie-Ange Grégory, docteure en science politique, CHERPA et ERMES, Sciences Po Aix.
Nicolas Hubé, maître de conférences en science politique, CESSP, université Paris 1.
Nicolas Kaciaf, maître de conférences en science politique, CERAPS, Sciences Po Lille.
Rémi Lefebvre, professeur de science politique, CERAPS, université Lille 2.
Thomas Marty, docteur en science politique, GAP, université Paris X Nanterre.
Alice Mazeaud, maîtresse de conférences en science politique, CEJEP, université de La Rochelle.
Sébastien Michon, chargé de recherche au CNRS, SAGE Strasbourg.
Toru Yoshida, professeur en science politique, université d’Hokkaïdo, chercheur associé à l’EHESS.
Karel Yon, chargé de recherche au CNRS, CERAPS, université de Lille 2.
L’alternance au pouvoir est devenue un phénomène politique courant, au point que son traitement médiatique comme académique s’est lui-même banalisé au gré des épisodes électoraux.
L’alternance au pouvoir est devenue un phénomène politique courant, au point que son traitement médiatique comme académique s’est lui-même banalisé au gré des épisodes électoraux. Par contraste avec les analyses centrées sur l’explication du verdict électoral, ce livre collectif tente de réveiller la curiosité des observateurs et des chercheurs en interrogeant la pluralité des contextes politiques et des situations de concurrence, les reliquats d’incertitude et les calculs prospectifs qui traversent les sociétés quand le pouvoir est sur le point de changer de main. Voir un compte-rendu sur le site lectures.revues, ainsi que dans la Revue française de science politique.
Les contributions réunies dans cet ouvrage replacent l’alternance dans une temporalité longue pour interroger les divers anticipations et investissements qui accompagnent les processus de changement de pouvoir, en amont comme en aval. En privilégiant une démarche empirique sur l’alternance, elles traitent de cas nationaux et locaux, démocratiques ou non, et revisitent notamment le paradigmatique “Mai-81” français. Ensemble, elles permettent de comprendre comment la notion d’alternance est devenue une catégorie usuelle de l’entendement du changement politique.
Les coordinateurs :
Philippe Aldrin, Lucie Bargel, Nicolas Bué, Christine Pina
Présentation : Brigitte Gaïti
Contributeurs-trices
Valentin Behr, doctorant en science politique, SAGE, université de Strasbourg.
Michel Camau, professeur émérite de science politique, CHERPA, Sciences Po Aix.
Éric Cheynis, maître de conférences en sociologie, SAGE, université de Haute-Alsace.
Marine De Lassalle, professeur de sociologie politique, SAGE, Sciences Po Strasbourg.
Audrey Freyermuth, maîtresse de conférences en science politique, CHERPA, Sciences Po Aix.
Renaud Gay, doctorant en science politique, PACTE, Sciences Po Grenoble.
Marie-Ange Grégory, docteure en science politique, CHERPA et ERMES, Sciences Po Aix.
Nicolas Hubé, maître de conférences en science politique, CESSP, université Paris 1.
Nicolas Kaciaf, maître de conférences en science politique, CERAPS, Sciences Po Lille.
Rémi Lefebvre, professeur de science politique, CERAPS, université Lille 2.
Thomas Marty, docteur en science politique, GAP, université Paris X Nanterre.
Alice Mazeaud, maîtresse de conférences en science politique, CEJEP, université de La Rochelle.
Sébastien Michon, chargé de recherche au CNRS, SAGE Strasbourg.
Toru Yoshida, professeur en science politique, université d’Hokkaïdo, chercheur associé à l’EHESS.
Karel Yon, chargé de recherche au CNRS, CERAPS, université de Lille 2.