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Ce livre est le résultat d’une recherche personnelle. Elle prolonge une interrogation relativement récente dans le mouvement ouvrier, la désobéissance civile de masse. J’ai été amené à cette réflexion à partir de mon expérience directe d’un mouvement social, l’Intifada palestinienne de la fin des années 1980.
J’en suis venu à considérer la lutte non violente comme le moteur de l’histoire et comme une nécessité politique. Ce qui m’a amené à poser la question du moment historique que nous vivons, celui d’une révolution non violente. Un oxymore ? Une contradiction dans les termes ? Une stupidité théorique et non seulement pratique ? Ce livre essaie d’y répondre.
Bernard RAVENEL a été membre du PSU, dont il a écrit l’histoire (Quand la gauche se réinventait, La Découverte, 2016).
Ce livre est le résultat d’une recherche personnelle. Elle prolonge une interrogation relativement récente dans le mouvement ouvrier, même si la grève a souvent été accompagnée d’expériences significatives de désobéissance civile de masse.
J’ai été amené à cette réflexion à partir de mon expérience directe d’un mouvement social, l’Intifada palestinienne de la fin des années 1980. Il s’agissait d’une impressionnante insurrection civile de la société palestinienne, avec une nouvelle poussée au début du xxie siècle puis les récents « printemps arabes », Intifada démocratique généralisée à l’ensemble du monde arabe et au-delà.
J’en suis venu à considérer la lutte non violente comme le moteur de l’histoire et comme une nécessité politique.
Ma recherche m’ a conduit à faire un retour sur le passé et sur le rapport entre violence et politique au xxe siècle. Ce qui m’ a amené à poser la question du moment historique que nous vivons, celle du rapport entre non-violence et transformation révolutionnaire, c’est-à-dire dépassement du mode de production capitaliste. En somme, celle d’une révolution non violente. Un oxymore ? Une contradiction dans les termes ? Une stupidité théorique et non seulement pratique ?
Ce sont les interrogations auxquelles ce livre essaie d’apporter des éléments de réponse ou, à tout le moins, de réflexion.
Bernard RAVENEL, agrégé d’histoire, est l’auteur de plusieurs livres consacrés aux problèmes méditerranéens dont : Méditerranée : le Nord contre le Sud ? (L’Harmattan, 1990) et La résistance palestinienne : des armes à la non-violence (L’Harmattan, 2019). Membre du PSU, dont il a écrit l’histoire (Quand la gauche se réinventait, La Découverte, 2016), il y a été chargé des relations internationales de 1974 à 1984. Il a été président de la Plate-forme des ONG françaises pour la Palestine de 2001 à 2011.
Ce livre est le résultat d’une recherche personnelle. Elle prolonge une interrogation relativement récente dans le mouvement ouvrier, la désobéissance civile de masse. J’ai été amené à cette réflexion à partir de mon expérience directe d’un mouvement social, l’Intifada palestinienne de la fin des années 1980. J’en suis venu à considérer la lutte non violente comme le moteur de l’histoire et comme une nécessité politique. Ce qui m’a amené à poser la question du moment historique que nous vivons, celui d’une révolution non violente. Un oxymore ? Une contradiction dans les termes ? Une stupidité théorique et non seulement pratique ? Ce livre essaie d’y répondre.
Bernard RAVENEL a été membre du PSU, dont il a écrit l’histoire (Quand la gauche se réinventait, La Découverte, 2016).
Ce livre est le résultat d’une recherche personnelle. Elle prolonge une interrogation relativement récente dans le mouvement ouvrier, même si la grève a souvent été accompagnée d’expériences significatives de désobéissance civile de masse.
J’ai été amené à cette réflexion à partir de mon expérience directe d’un mouvement social, l’Intifada palestinienne de la fin des années 1980. Il s’agissait d’une impressionnante insurrection civile de la société palestinienne, avec une nouvelle poussée au début du xxie siècle puis les récents « printemps arabes », Intifada démocratique généralisée à l’ensemble du monde arabe et au-delà.
J’en suis venu à considérer la lutte non violente comme le moteur de l’histoire et comme une nécessité politique.
Ma recherche m’ a conduit à faire un retour sur le passé et sur le rapport entre violence et politique au xxe siècle. Ce qui m’ a amené à poser la question du moment historique que nous vivons, celle du rapport entre non-violence et transformation révolutionnaire, c’est-à-dire dépassement du mode de production capitaliste. En somme, celle d’une révolution non violente. Un oxymore ? Une contradiction dans les termes ? Une stupidité théorique et non seulement pratique ?
Ce sont les interrogations auxquelles ce livre essaie d’apporter des éléments de réponse ou, à tout le moins, de réflexion.
Bernard RAVENEL, agrégé d’histoire, est l’auteur de plusieurs livres consacrés aux problèmes méditerranéens dont : Méditerranée : le Nord contre le Sud ? (L’Harmattan, 1990) et La résistance palestinienne : des armes à la non-violence (L’Harmattan, 2019). Membre du PSU, dont il a écrit l’histoire (Quand la gauche se réinventait, La Découverte, 2016), il y a été chargé des relations internationales de 1974 à 1984. Il a été président de la Plate-forme des ONG françaises pour la Palestine de 2001 à 2011.