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La « politique des chemins courts ». C’est par ces mots que le Président de l’Association des journalistes parlementaires désigne en 1978 la nature des échanges entre les journalistes et le personnel politique dans la capitale fédérale. Cette métaphore donne sens à la naturalisation de la lente construction institutionnelle reconnue par les différents acteurs de l’espace politique fédéral (journalistes, responsables politiques, porte-parole, hauts-fonctionnaires).

L’institutionnalisation de ce monopole n’est pas la résultante de seuls jeux d’interactions, indépendamment de tout contexte socio-politique, mais bien un effet de la structure du champ de la politique fédérale, de son histoire incorporée et instituée ainsi que de ses évolutions depuis la sortie de la Première Guerre Mondiale. L’enjeu de consolidation du régime (quel qu’il soit, démocratique ou autoritaire) est au cœur de la structuration de cet « espace public », pour le défendre face aux menaces réelles ou fantasmées (mais réelles dans leurs effets sur l’organisation d’une administration du porte-parolat), pour convaincre les citoyens et les journalistes de son bienfondé. 

Table des matières

Introduction

De la particularité allemande en comparaison internationale

Journalistes et politiques : des associés-rivaux

Quelques éléments de définition

Observer la coproduction des biens symboliques à destination des médias

Comprendre en actes la structuration des espaces publics nationaux

L’espace public et sa contention : l’invention de l’Öffentlichkeitsarbeit

La curialisation des agents dans une capitale fédérale

Pour une sociologie historique des relations presse-politique

Sociogénèse et institutionnalisation d’un espace autonome d’interactions

La production des biens symboliques gouvernementaux : un champ interstitiel au sein de l’État fédéral

Construire une enquête de temps long

Retracer une histoire bureaucratique

Histoire croisée d’archives

Une sociologie de la pratique

Chapitre 1. Organiser les échanges par la Öffentlichkeitsarbeit : une longue tradition de contre-feux politiques

Sauver le régime, installer le régime

Soutenir la forme républicaine de l’État par la propagande : Weimar, 1919-1933

Propagande et Öffentlichkeitsarbeit au service d’une « société dirigée » : la RFA depuis 1949

Une histoire administrative du porte-parolat : institutionnaliser et centraliser

Faire tenir une parole malgré les tensions : la République de Weimar

Le ministère de la propagande défié par la polyarchie du régime national-socialiste

La division ministérielle du porte-parolat en RFA après 1949

Chapitre 2. Au service de la démocratie ? 125

L’espace public incarné des Pressekonferenz 125

L’imbrication des lieux de la publicité : les conférences de presse sous Weimar 127

Définir les règles du jeu : le rôle des conférences de presse 127

L’affirmation des associations professionnelles 133

La Bundespressekonferenz e.V : la construction d’une institution de journalistes 137

Construire un collectif et légitimer la centralité politique de l’institution 138

Préserver l’entre-soi face à la monstration télévisuelle 149

Codifier l’entre-soi et disciplinariser les porte-parole 150

La liberté de la presse s’arrête-t-elle aux relations interallemandes ? 159

Le mur de Berlin : la fenêtre (sale) d’opportunité pour trancher le cas des journalistes de l’Est 159

La Ostpolitik des journalistes 164

Chapitre 3. Sociabilités et pacification des échanges dans l’espace parlementaire 171

Serre, île, bateau ou vaisseau spatial ? Le monde à part de la politique fédérale 173

Berlin, la Medienstadt 174

Une capitale fédérale engoncée : Bonn 177

Le retour de la Medienstadt ? Berlin après 1999 182

La configuration (restreinte) des échanges et sa modalisation 184

Berlin (1918-1933) : Construire un univers d’interdépendances pour mieux apprivoiser la conflictualité 185

Bonn : le charme apaisé d’une ville de province 192

Les mondanités : parfaire la façade pour préserver les coulisses 207

La République réconciliée : le « glam-chic » d’une tradition maintenue à Bonn 217

Maintenir le public à distance du bal de la presse 221

Chapitre 4. La recomposition de l’espace politique après 1999 231

Berlin, années folles (1999-2002) : la conjoncture fluide des premières années 236

La tentation économique de Berlin 237

Starisation et scandalisation de la vie politique 239

Rétablir les règles, (r)établir les frontières du groupe : les statuts de la BPK 243

Une séquence sous tension (2002-2004) : jouer la concurrence et rétablir le modus operandi de Bonn 247

Au commencement, de « banales » demandes de réécriture d’interviews 248

Ne rien laisser passer aux politiques 251

Désectorisation et règlement du conflit 255

Redéfinir les contours réglementaires des interviews 258

La course aux armements communicationnels et le réarrangement du monde de la politique parlementaire 260

Garder les frontières, garder ses distances 263

Le (relatif) désengagement numérique des journalistes de la BPK 271

Exister politiquement, exister journalistiquement : contourner l’atonie des gouvernements de Grande Coalition 280

Occuper l’espace médiatique dans un État fédéral 280

Grande coalition et stratégies parlementaires 282

Les outils parlementaires comme instruments du contrôle médiatique 287

Chapitre 5. L’espace hodologique du pouvoir 297

L’espace restreint du journalisme parlementaire 301

Évolution du nombre de journalistes parlementaires 302

Les transformations structurelles du journalisme parlementaire 307

La précarisation (relative) du journalisme politique 311

Faire nombre : la réunion des rédactions parlementaires 313

Lutter contre l’isolement des rédacteurs 313

L’organisation collective de la couverture du quotidien 315

Faire face aux journalistes : les services du Bundespresseamt et des ministères 319

Les injonctions politiques à paraître 320

Les moyens de la coordination : le personnel du Bundespresseamt 323

L’espace concentrique du pouvoir symbolique 327

Les plans d’un navire provisoire qui a duré : Bonn 1949-1999 327

Une capitale nouvelle aux contours topographiques historiquement prescrits : Berlin, 1999-… 338

Chapitre 6. L’espace homologique du pouvoir 347

De quelques propriétés des journalistes de la BPK 351

Des journalistes aux propriétés sociales hautes 351

La lente féminisation du journalisme parlementaire 353

De quelques homologies sociales 354

La lente féminisation du politique 354

Sur-diplômé•e•s mais moins de docteur•e•s 357

Les sciences de gouvernement au cœur du champ ? 360

Un secteur du champ bureaucratique 364

Un siècle de professionnalisation du porte-parolat 365

L’espace interstitiel entre publicistes et auxiliaires du politique après 1949 367

Parfaire son entrée dans le champ bureaucratique : une analyse séquentielle des carrières des porte-parole 373

Conclusion 383

Annexe méthodologique : terrains d’enquête et sources 391

Liste des entretiens 391

Journalistes : 391

Porte-parole ministériels : 392

Politiques : 392

Fonctionnaires, chargé-e-s de presse ou de communication : 393

Sources 393

Sources prosopographiques et topographiques : 394

Archives de la Bundespressekonferenz : 395

Bundesarchiv (BArch) : 396

Mémoires et autobiographies : 398

Remerciements 400

La « politique des chemins courts ». C’est par ces mots que le Président de l’Association des journalistes parlementaires (la Bundespressekonferenz) désigne en 1978 la nature des échanges entre les journalistes et le personnel politique dans la Capitale fédérale. Il s’offusque du projet de déplacer le corps de presse à quelques encâblures du quartier gouvernemental. Cette métaphore donne sens à la naturalisation de la lente construction institutionnelle reconnue par les différents acteurs de l’espace politique fédéral (journalistes, responsables politiques, porte-parole, hauts-fonctionnaires). Le tour de force symbolique de la Bundespressekonferenz en 1949 est d’avoir su construire un monopole corporatiste de gestion des relations presse-politique en regard d’un appareil d’Etat du porte-parolat gouvernemental. L’institutionnalisation de ce monopole n’est pas la résultante de seuls jeux d’interactions, indépendamment de tout contexte socio-politique, mais bien un effet de la structure du champ de la politique fédérale, de son histoire incorporée et instituée ainsi que de ses évolutions depuis la sortie de la Première Guerre Mondiale. L’enjeu de consolidation du régime (quel qu’il soit, démocratique ou autoritaire) est au cœur de la structuration de cet « espace public », pour le défendre face aux menaces réelles ou fantasmées (mais réelles dans leurs effets sur l’organisation d’une administration du porte-parolat), pour convaincre les citoyens et les journalistes de son bienfondé. La constitution d’une forme particulière de curialisation des acteurs de la démocratie parlementaire allemande n’est donc pas l’effet d’une culture démocratique allemande, mais bien le fruit d’un lent mécanisme de consolidation des échanges. La proposition suivie dans cet ouvrage est de la mise en visibilité médiatique du politique, à la croisée entre sociologie compréhensive du travail journalistique et sociologie politique du pouvoir fédéral allemand, que nous observons dans le temps long de leur institutionnalisation depuis 1918.

Auteur :

Nicolas Hubé est professeur des universités en sciences de l'information et de la communication à l'Université de Lorraine et membre du CREM (Centre de Recherche sur les Médiations) où il co-dirige l'équipe Praximedia (Journalisme, espace public, représentations). Ses travaux portent actuellement sur les politiques de communication de l'Union européenne, la sociologie comparée du journalisme en Europe ainsi que le phénomène populiste en Europe.

Points forts de l’ouvrage :

  • Un travail original sur la politique fédérale et/ou le parlementarisme (ouest-)allemand
  • Comprendre le travail des journalistes et des communicants comme des associés-rivaux
  • Inscrire la propagande et la communication politique dans leur continuité historique, sans présupposé de différences de nature
  • Comprendre le rôle de la République de Weimar dans la structuration du champ du pouvoir allemand sous le nazisme et sous la RFA d’après 1949
15,17 €
15,17 €

La « politique des chemins courts ». C’est par ces mots que le Président de l’Association des journalistes parlementaires désigne en 1978 la nature des échanges entre les journalistes et le personnel politique dans la capitale fédérale. Cette métaphore donne sens à la naturalisation de la lente construction institutionnelle reconnue par les différents acteurs de l’espace politique fédéral (journalistes, responsables politiques, porte-parole, hauts-fonctionnaires).

L’institutionnalisation de ce monopole n’est pas la résultante de seuls jeux d’interactions, indépendamment de tout contexte socio-politique, mais bien un effet de la structure du champ de la politique fédérale, de son histoire incorporée et instituée ainsi que de ses évolutions depuis la sortie de la Première Guerre Mondiale. L’enjeu de consolidation du régime (quel qu’il soit, démocratique ou autoritaire) est au cœur de la structuration de cet « espace public », pour le défendre face aux menaces réelles ou fantasmées (mais réelles dans leurs effets sur l’organisation d’une administration du porte-parolat), pour convaincre les citoyens et les journalistes de son bienfondé. 

Table des matières

Introduction

De la particularité allemande en comparaison internationale

Journalistes et politiques : des associés-rivaux

Quelques éléments de définition

Observer la coproduction des biens symboliques à destination des médias

Comprendre en actes la structuration des espaces publics nationaux

L’espace public et sa contention : l’invention de l’Öffentlichkeitsarbeit

La curialisation des agents dans une capitale fédérale

Pour une sociologie historique des relations presse-politique

Sociogénèse et institutionnalisation d’un espace autonome d’interactions

La production des biens symboliques gouvernementaux : un champ interstitiel au sein de l’État fédéral

Construire une enquête de temps long

Retracer une histoire bureaucratique

Histoire croisée d’archives

Une sociologie de la pratique

Chapitre 1. Organiser les échanges par la Öffentlichkeitsarbeit : une longue tradition de contre-feux politiques

Sauver le régime, installer le régime

Soutenir la forme républicaine de l’État par la propagande : Weimar, 1919-1933

Propagande et Öffentlichkeitsarbeit au service d’une « société dirigée » : la RFA depuis 1949

Une histoire administrative du porte-parolat : institutionnaliser et centraliser

Faire tenir une parole malgré les tensions : la République de Weimar

Le ministère de la propagande défié par la polyarchie du régime national-socialiste

La division ministérielle du porte-parolat en RFA après 1949

Chapitre 2. Au service de la démocratie ? 125

L’espace public incarné des Pressekonferenz 125

L’imbrication des lieux de la publicité : les conférences de presse sous Weimar 127

Définir les règles du jeu : le rôle des conférences de presse 127

L’affirmation des associations professionnelles 133

La Bundespressekonferenz e.V : la construction d’une institution de journalistes 137

Construire un collectif et légitimer la centralité politique de l’institution 138

Préserver l’entre-soi face à la monstration télévisuelle 149

Codifier l’entre-soi et disciplinariser les porte-parole 150

La liberté de la presse s’arrête-t-elle aux relations interallemandes ? 159

Le mur de Berlin : la fenêtre (sale) d’opportunité pour trancher le cas des journalistes de l’Est 159

La Ostpolitik des journalistes 164

Chapitre 3. Sociabilités et pacification des échanges dans l’espace parlementaire 171

Serre, île, bateau ou vaisseau spatial ? Le monde à part de la politique fédérale 173

Berlin, la Medienstadt 174

Une capitale fédérale engoncée : Bonn 177

Le retour de la Medienstadt ? Berlin après 1999 182

La configuration (restreinte) des échanges et sa modalisation 184

Berlin (1918-1933) : Construire un univers d’interdépendances pour mieux apprivoiser la conflictualité 185

Bonn : le charme apaisé d’une ville de province 192

Les mondanités : parfaire la façade pour préserver les coulisses 207

La République réconciliée : le « glam-chic » d’une tradition maintenue à Bonn 217

Maintenir le public à distance du bal de la presse 221

Chapitre 4. La recomposition de l’espace politique après 1999 231

Berlin, années folles (1999-2002) : la conjoncture fluide des premières années 236

La tentation économique de Berlin 237

Starisation et scandalisation de la vie politique 239

Rétablir les règles, (r)établir les frontières du groupe : les statuts de la BPK 243

Une séquence sous tension (2002-2004) : jouer la concurrence et rétablir le modus operandi de Bonn 247

Au commencement, de « banales » demandes de réécriture d’interviews 248

Ne rien laisser passer aux politiques 251

Désectorisation et règlement du conflit 255

Redéfinir les contours réglementaires des interviews 258

La course aux armements communicationnels et le réarrangement du monde de la politique parlementaire 260

Garder les frontières, garder ses distances 263

Le (relatif) désengagement numérique des journalistes de la BPK 271

Exister politiquement, exister journalistiquement : contourner l’atonie des gouvernements de Grande Coalition 280

Occuper l’espace médiatique dans un État fédéral 280

Grande coalition et stratégies parlementaires 282

Les outils parlementaires comme instruments du contrôle médiatique 287

Chapitre 5. L’espace hodologique du pouvoir 297

L’espace restreint du journalisme parlementaire 301

Évolution du nombre de journalistes parlementaires 302

Les transformations structurelles du journalisme parlementaire 307

La précarisation (relative) du journalisme politique 311

Faire nombre : la réunion des rédactions parlementaires 313

Lutter contre l’isolement des rédacteurs 313

L’organisation collective de la couverture du quotidien 315

Faire face aux journalistes : les services du Bundespresseamt et des ministères 319

Les injonctions politiques à paraître 320

Les moyens de la coordination : le personnel du Bundespresseamt 323

L’espace concentrique du pouvoir symbolique 327

Les plans d’un navire provisoire qui a duré : Bonn 1949-1999 327

Une capitale nouvelle aux contours topographiques historiquement prescrits : Berlin, 1999-… 338

Chapitre 6. L’espace homologique du pouvoir 347

De quelques propriétés des journalistes de la BPK 351

Des journalistes aux propriétés sociales hautes 351

La lente féminisation du journalisme parlementaire 353

De quelques homologies sociales 354

La lente féminisation du politique 354

Sur-diplômé•e•s mais moins de docteur•e•s 357

Les sciences de gouvernement au cœur du champ ? 360

Un secteur du champ bureaucratique 364

Un siècle de professionnalisation du porte-parolat 365

L’espace interstitiel entre publicistes et auxiliaires du politique après 1949 367

Parfaire son entrée dans le champ bureaucratique : une analyse séquentielle des carrières des porte-parole 373

Conclusion 383

Annexe méthodologique : terrains d’enquête et sources 391

Liste des entretiens 391

Journalistes : 391

Porte-parole ministériels : 392

Politiques : 392

Fonctionnaires, chargé-e-s de presse ou de communication : 393

Sources 393

Sources prosopographiques et topographiques : 394

Archives de la Bundespressekonferenz : 395

Bundesarchiv (BArch) : 396

Mémoires et autobiographies : 398

Remerciements 400

La « politique des chemins courts ». C’est par ces mots que le Président de l’Association des journalistes parlementaires (la Bundespressekonferenz) désigne en 1978 la nature des échanges entre les journalistes et le personnel politique dans la Capitale fédérale. Il s’offusque du projet de déplacer le corps de presse à quelques encâblures du quartier gouvernemental. Cette métaphore donne sens à la naturalisation de la lente construction institutionnelle reconnue par les différents acteurs de l’espace politique fédéral (journalistes, responsables politiques, porte-parole, hauts-fonctionnaires). Le tour de force symbolique de la Bundespressekonferenz en 1949 est d’avoir su construire un monopole corporatiste de gestion des relations presse-politique en regard d’un appareil d’Etat du porte-parolat gouvernemental. L’institutionnalisation de ce monopole n’est pas la résultante de seuls jeux d’interactions, indépendamment de tout contexte socio-politique, mais bien un effet de la structure du champ de la politique fédérale, de son histoire incorporée et instituée ainsi que de ses évolutions depuis la sortie de la Première Guerre Mondiale. L’enjeu de consolidation du régime (quel qu’il soit, démocratique ou autoritaire) est au cœur de la structuration de cet « espace public », pour le défendre face aux menaces réelles ou fantasmées (mais réelles dans leurs effets sur l’organisation d’une administration du porte-parolat), pour convaincre les citoyens et les journalistes de son bienfondé. La constitution d’une forme particulière de curialisation des acteurs de la démocratie parlementaire allemande n’est donc pas l’effet d’une culture démocratique allemande, mais bien le fruit d’un lent mécanisme de consolidation des échanges. La proposition suivie dans cet ouvrage est de la mise en visibilité médiatique du politique, à la croisée entre sociologie compréhensive du travail journalistique et sociologie politique du pouvoir fédéral allemand, que nous observons dans le temps long de leur institutionnalisation depuis 1918.

Auteur :

Nicolas Hubé est professeur des universités en sciences de l'information et de la communication à l'Université de Lorraine et membre du CREM (Centre de Recherche sur les Médiations) où il co-dirige l'équipe Praximedia (Journalisme, espace public, représentations). Ses travaux portent actuellement sur les politiques de communication de l'Union européenne, la sociologie comparée du journalisme en Europe ainsi que le phénomène populiste en Europe.

Points forts de l’ouvrage :

  • Un travail original sur la politique fédérale et/ou le parlementarisme (ouest-)allemand
  • Comprendre le travail des journalistes et des communicants comme des associés-rivaux
  • Inscrire la propagande et la communication politique dans leur continuité historique, sans présupposé de différences de nature
  • Comprendre le rôle de la République de Weimar dans la structuration du champ du pouvoir allemand sous le nazisme et sous la RFA d’après 1949
18,96 €
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<p><span style="font-family:'Times New Roman', serif;">La « politique...
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