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Des rives de la Neva aux monts du Caucase, de l’URSS des années 60 à la Russie d’aujourd’hui, ce livre ne constitue pas seulement un récit de voyage et de découverte mais c’est aussi et même surtout le témoignage d’une anthropologue. Étudiante à Léningrad au milieu des années 1970, Frédérique Longuet Marx s’oriente vers l’ethnologie après son retour en France et commence dès 1983 des recherches au Daghestan, proche de la Tchétchénie. 

Une longue histoire oppose l’empire russe aux populations locales. La conquête tsariste achevée en 1864  cède la place à la soviétisation dans les années 1920. L’islam joue un rôle déterminant dans la résistance, tant à l’époque tsariste qu’à l’époque soviétique où le pouvoir central tente de façonner un citoyen identique, l’homo sovieticus, en mettant en place une politique d’assimilation culturelle et politique sur tout le territoire. Depuis la fin de l’URSS, l’islam apparaît comme un facteur d’identité de plus en plus marqué et revient au grand jour avec la construction massive de mosquées et, dans certaines régions, l’émergence du salafisme comme force d’opposition politique.

Frédérique Longuet Marx est anthropologue et mène ses recherches de terrain dans le Caucase musulman depuis les années 1980. Enseignante en sociologie et en anthropologie à l’Université de Caen, chargée d’un séminaire sur les musulmans du Caucase à l’INALCO  puis à l’EHESS, elle est chercheur-associée au CETOBAC (Centre d’Études Turques, Ottomanes, Balkaniques et Centrasiatiques). Au moment des guerres de Tchétchénie, elle publie en 2003, Tchétchénie, la guerre jusqu’au dernier ? aux éditions Mille et Une nuits.

Des rives de la Neva aux monts du Caucase, de l’URSS des années 60 à la Russie d’aujourd’hui, ce livre ne constitue pas seulement un récit de voyage et de découverte mais c’est aussi et même surtout le témoignage d’une anthropologue. Étudiante à Léningrad au milieu des années 1970, Frédérique Longuet Marx s’oriente vers l’ethnologie après son retour en France et commence dès 1983 des recherches au Daghestan, proche de la Tchétchénie. Ce travail qu’elle poursuit jusqu’à aujourd’hui fait d’elle une des rares spécialistes occidentales à s’être rendue sur le terrain à l’époque soviétique. Ce récit nous propose de découvrir une région méconnue où cohabitent plus de trente peuples aux langues spécifiques.

Une longue histoire oppose l’empire russe aux populations locales. La conquête tsariste achevée en 1864  cède la place à la soviétisation dans les années 1920. L’islam joue un rôle déterminant dans la résistance, tant à l’époque tsariste qu’à l’époque soviétique où le pouvoir central tente de façonner un citoyen identique, l’homo sovieticus, en mettant en place une politique d’assimilation culturelle et politique sur tout le territoire. Le réseau de confréries soufies très actif dans la région permet le maintien d’une pratique clandestine de la religion pendant toute la période soviétique. Depuis la fin de l’URSS, l’islam apparaît comme un facteur d’identité de plus en plus marqué et revient au grand jour avec la construction massive de mosquées et, dans certaines régions, l’émergence du salafisme comme force d’opposition politique.

15,17 €
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Des rives de la Neva aux monts du Caucase, de l’URSS des années 60 à la Russie d’aujourd’hui, ce livre ne constitue pas seulement un récit de voyage et de découverte mais c’est aussi et même surtout le témoignage d’une anthropologue. Étudiante à Léningrad au milieu des années 1970, Frédérique Longuet Marx s’oriente vers l’ethnologie après son retour en France et commence dès 1983 des recherches au Daghestan, proche de la Tchétchénie. 

Une longue histoire oppose l’empire russe aux populations locales. La conquête tsariste achevée en 1864  cède la place à la soviétisation dans les années 1920. L’islam joue un rôle déterminant dans la résistance, tant à l’époque tsariste qu’à l’époque soviétique où le pouvoir central tente de façonner un citoyen identique, l’homo sovieticus, en mettant en place une politique d’assimilation culturelle et politique sur tout le territoire. Depuis la fin de l’URSS, l’islam apparaît comme un facteur d’identité de plus en plus marqué et revient au grand jour avec la construction massive de mosquées et, dans certaines régions, l’émergence du salafisme comme force d’opposition politique.

Frédérique Longuet Marx est anthropologue et mène ses recherches de terrain dans le Caucase musulman depuis les années 1980. Enseignante en sociologie et en anthropologie à l’Université de Caen, chargée d’un séminaire sur les musulmans du Caucase à l’INALCO  puis à l’EHESS, elle est chercheur-associée au CETOBAC (Centre d’Études Turques, Ottomanes, Balkaniques et Centrasiatiques). Au moment des guerres de Tchétchénie, elle publie en 2003, Tchétchénie, la guerre jusqu’au dernier ? aux éditions Mille et Une nuits.

Des rives de la Neva aux monts du Caucase, de l’URSS des années 60 à la Russie d’aujourd’hui, ce livre ne constitue pas seulement un récit de voyage et de découverte mais c’est aussi et même surtout le témoignage d’une anthropologue. Étudiante à Léningrad au milieu des années 1970, Frédérique Longuet Marx s’oriente vers l’ethnologie après son retour en France et commence dès 1983 des recherches au Daghestan, proche de la Tchétchénie. Ce travail qu’elle poursuit jusqu’à aujourd’hui fait d’elle une des rares spécialistes occidentales à s’être rendue sur le terrain à l’époque soviétique. Ce récit nous propose de découvrir une région méconnue où cohabitent plus de trente peuples aux langues spécifiques.

Une longue histoire oppose l’empire russe aux populations locales. La conquête tsariste achevée en 1864  cède la place à la soviétisation dans les années 1920. L’islam joue un rôle déterminant dans la résistance, tant à l’époque tsariste qu’à l’époque soviétique où le pouvoir central tente de façonner un citoyen identique, l’homo sovieticus, en mettant en place une politique d’assimilation culturelle et politique sur tout le territoire. Le réseau de confréries soufies très actif dans la région permet le maintien d’une pratique clandestine de la religion pendant toute la période soviétique. Depuis la fin de l’URSS, l’islam apparaît comme un facteur d’identité de plus en plus marqué et revient au grand jour avec la construction massive de mosquées et, dans certaines régions, l’émergence du salafisme comme force d’opposition politique.

18,96 €
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<p><span class="s1" style="letter-spacing:-.1px;">Des rives de la Neva...
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