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L’aventure humaine et industrielle de la sidérurgie algérienne 1964-1982

18,96 €

Il y a plus de cinquante ans, au lendemain de la guerre d’Algérie, de jeunes Algériens se sont engagés, enthousiastes mais sans beaucoup d’expérience, dans le développement de leur pays. Ils avaient effectué des études supérieures dans les conditions difficiles de la guerre d’Indépendance, et souvent milité pour la libération de leur peuple.

Des Français de leur âge fraîchement diplômés de l’enseignement supérieur, et quelques autres, plus expérimentés, se sont joints à eux. Ils avaient des sentiments tiers-mondistes affirmés, ou avaient milité contre le colonialisme et pour la paix en Algérie.

La Société nationale de sidérurgie (SNS), où ces hommes se sont retrouvés, a été le lieu d’une aventure technique et humaine remarquable : l’édification en moins de vingt ans (de 1964 ‡ 1982), d’un secteur sidérurgique qui devait assurer le développement d’un pays déstructuré, affaibli par la guerre, et sans passé industriel : on y coulait de l’acier, fabriquait des tubes, étamait des tôles fines, couvrait le marché intérieur de produits sidérurgiques, et… formait des dizaines de milliers de cadres et de travailleurs qualifiés.

Quantité

Table des matières

Préface : une aventure politique, économique et humaine

Avant propos

Chapitre 1 : une mise en perspective historique de la sidérurgie en Algérie

De la période coloniale à l’Indépendance

La politique industrielle de l’Algérie indépendante

Le développement de la sidérurgie et de la métallurgie par la SNS (1964 à 1982)

Chapitre 2 : l'aventure humaine de la SNS racontée par ceux qui y ont participé

Un collectif jeune et ouvert pour encadrer la SNS

Des équipes soudées par la passion du travail à réaliser

Une politique de formation ambitieuse

L’évolution des rapports avec le syndicat et du statut des personnels

Chapitre 3 : l'aventure industrielle de la SNS vue par des acteurs de l'entreprise

Le choix volontariste de l’industrie sidérurgique

Des solutions pour faire face aux défis technologiques et acquérir du savoir-faire

Une exploitation répondant à un rythme d’investissements élevé

L’extension du champ d’activité et la mise à niveau de l’organisation interne

Les contraintes d’un environnement difficile

Chapitre 4 : une aventure industrielle et humaine qui valait la peine d'être vécue

Les conditions de l’aventure

Le bilan de l’aventure

Des paroles d’acteurs

Épilogue : l'évolution de la sidérurgie en Algérie de 1983 à aujourd'hui (2020) 269

Les parcours des acteurs

L’environnement politique et économique

Les évolutions et héritages de la SNS

Les évolutions récentes : de nouveaux investisseurs privés étrangers

Annexes    

Annexe 1 : Sigles et acronymes   

Annexe 2 : Termes techniques relatifs aux procédés et productions de la sidérurgie

Annexe 3 : Chronologie résumée du développement d’El Hadjar

Annexe 4 : Implantations des unités GSE de la SNS et de dépôts commerciaux

Annexe 5 : Parcours à la SNS des cadres interviewés 

Annexe 6 : Ouvrages et documents consultés 310

Il y a plus de cinquante ans, au lendemain de la guerre d’Algérie, de jeunes Algériens se sont engagés, enthousiastes mais sans beaucoup d’expérience, dans le développement de leur pays. Ils avaient effectué des études supérieures dans les conditions difficiles de la guerre d’Indépendance, et souvent milité pour la libération de leur peuple.

Des Français de leur âge fraîchement diplômés de l’enseignement supérieur, et quelques autres, plus expérimentés, se sont joints à eux. Ils avaient des sentiments tiers-mondistes affirmés, ou avaient milité contre le colonialisme et pour la paix en Algérie.

La Société nationale de sidérurgie (SNS), où ces hommes se sont retrouvés, a été le lieu d’une aventure technique et humaine remarquable : l’édification en moins de vingt ans (de 1964 ‡ 1982), d’un secteur sidérurgique qui devait assurer le développement d’un pays déstructuré, affaibli par la guerre, et sans passé industriel : on y coulait de l’acier, fabriquait des tubes, étamait des tôles fines, couvrait le marché intérieur de produits sidérurgiques, et… formait des dizaines de milliers de cadres et de travailleurs qualifiés.

L’association « Mémoires SNS », qui signe cet ouvrage, a été constituée par quelques anciens cadres de la SNS qui ont ressenti l’envie de raviver cette expérience en réunissant et mettant en forme leurs témoignages et ceux d’une quarantaine de leurs anciens collègues. 

 

Livre
9782365123396

Fiche technique

Nombre de pages
314
Auteur
Mémoires SNS
Collection
Sociétés et politiques en Méditerranée

Références spécifiques

Vous pouvez aussi vous procurer la version numérique

Il y a plus de cinquante ans, au lendemain de la guerre d’Algérie, de jeunes Algériens se sont engagés, enthousiastes mais sans beaucoup d’expérience, dans le développement de leur pays. Ils avaient effectué des études supérieures dans les conditions difficiles de la guerre d’Indépendance, et souvent milité pour la libération de leur peuple.

Des Français de leur âge fraîchement diplômés de l’enseignement supérieur, et quelques autres, plus expérimentés, se sont joints à eux. Ils avaient des sentiments tiers-mondistes affirmés, ou avaient milité contre le colonialisme et pour la paix en Algérie.

La Société nationale de sidérurgie (SNS), où ces hommes se sont retrouvés, a été le lieu d’une aventure technique et humaine remarquable : l’édification en moins de vingt ans (de 1964 ‡ 1982), d’un secteur sidérurgique qui devait assurer le développement d’un pays déstructuré, affaibli par la guerre, et sans passé industriel : on y coulait de l’acier, fabriquait des tubes, étamait des tôles fines, couvrait le marché intérieur de produits sidérurgiques, et… formait des dizaines de milliers de cadres et de travailleurs qualifiés.

Table des matières

Préface : une aventure politique, économique et humaine

Avant propos

Chapitre 1 : une mise en perspective historique de la sidérurgie en Algérie

De la période coloniale à l’Indépendance

La politique industrielle de l’Algérie indépendante

Le développement de la sidérurgie et de la métallurgie par la SNS (1964 à 1982)

Chapitre 2 : l'aventure humaine de la SNS racontée par ceux qui y ont participé

Un collectif jeune et ouvert pour encadrer la SNS

Des équipes soudées par la passion du travail à réaliser

Une politique de formation ambitieuse

L’évolution des rapports avec le syndicat et du statut des personnels

Chapitre 3 : l'aventure industrielle de la SNS vue par des acteurs de l'entreprise

Le choix volontariste de l’industrie sidérurgique

Des solutions pour faire face aux défis technologiques et acquérir du savoir-faire

Une exploitation répondant à un rythme d’investissements élevé

L’extension du champ d’activité et la mise à niveau de l’organisation interne

Les contraintes d’un environnement difficile

Chapitre 4 : une aventure industrielle et humaine qui valait la peine d'être vécue

Les conditions de l’aventure

Le bilan de l’aventure

Des paroles d’acteurs

Épilogue : l'évolution de la sidérurgie en Algérie de 1983 à aujourd'hui (2020) 269

Les parcours des acteurs

L’environnement politique et économique

Les évolutions et héritages de la SNS

Les évolutions récentes : de nouveaux investisseurs privés étrangers

Annexes    

Annexe 1 : Sigles et acronymes   

Annexe 2 : Termes techniques relatifs aux procédés et productions de la sidérurgie

Annexe 3 : Chronologie résumée du développement d’El Hadjar

Annexe 4 : Implantations des unités GSE de la SNS et de dépôts commerciaux

Annexe 5 : Parcours à la SNS des cadres interviewés 

Annexe 6 : Ouvrages et documents consultés 310

Il y a plus de cinquante ans, au lendemain de la guerre d’Algérie, de jeunes Algériens se sont engagés, enthousiastes mais sans beaucoup d’expérience, dans le développement de leur pays. Ils avaient effectué des études supérieures dans les conditions difficiles de la guerre d’Indépendance, et souvent milité pour la libération de leur peuple.

Des Français de leur âge fraîchement diplômés de l’enseignement supérieur, et quelques autres, plus expérimentés, se sont joints à eux. Ils avaient des sentiments tiers-mondistes affirmés, ou avaient milité contre le colonialisme et pour la paix en Algérie.

La Société nationale de sidérurgie (SNS), où ces hommes se sont retrouvés, a été le lieu d’une aventure technique et humaine remarquable : l’édification en moins de vingt ans (de 1964 ‡ 1982), d’un secteur sidérurgique qui devait assurer le développement d’un pays déstructuré, affaibli par la guerre, et sans passé industriel : on y coulait de l’acier, fabriquait des tubes, étamait des tôles fines, couvrait le marché intérieur de produits sidérurgiques, et… formait des dizaines de milliers de cadres et de travailleurs qualifiés.

L’association « Mémoires SNS », qui signe cet ouvrage, a été constituée par quelques anciens cadres de la SNS qui ont ressenti l’envie de raviver cette expérience en réunissant et mettant en forme leurs témoignages et ceux d’une quarantaine de leurs anciens collègues. 

 

15,17 €
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